En rencontrant un messager qui rentre a la capitale

feng ru jing shi
Que mon pays natal à l'est est loin!
Mes manches sont mouillées de pleurs au coin.
Avec quoi, à cheval, écrire aux miens?
O dites-leur que je me porte bien!

Poème chinois:

「逢入京使」
故园东望路漫漫, 双袖龙钟泪不乾。
马上相逢无纸笔, 凭君传语报平安。

岑参

Explication du poème:

En 749, Cen Shen entreprit pour la première fois un voyage dans les régions occidentales, en tant que secrétaire du ministre de l’Anxi, Gao Xianzhi, et ce poème a été écrit au cours de son voyage dans les régions occidentales.

Dans les deux premiers vers, le poète regarde vers l’est, vers Chang’an, où sa maison est loin, et les larmes de nostalgie qui tachent ses manches sont difficiles à essuyer.

Le poète voyage vers l’ouest, mais il rencontre l’envoyé de la capitale qui rentre chez lui à l’est. L’émissaire est de plus en plus excité à l’idée de rentrer chez lui, tandis que le poète est de plus en plus sentimental à mesure qu’il s’éloigne de son pays. La rencontre entre les deux a augmenté le contraste psychologique, c’est pourquoi les « larmes du mal du pays » ont un sens.

Les deux derniers vers : sur le cheval rencontré à la hâte, sans stylo ni papier pour écrire des lettres, seulement pour vous confier un message à la famille pour rapporter la paix.

Ces deux lignes sont écrites pour rencontrer l’émissaire dans la capitale qui veut apporter une lettre à la maison pour rapporter la paix et la souffrance sans stylo ni papier, complètement sur le cheval pour rencontrer le voyageur dans un ton pressé, écrit très évocateur. Poète sur le chemin d’Anxi, rencontré comme l’émissaire de Pékin du défunt, a continué à voyager vers l’ouest, un retour à Chang’an, et sa femme est aussi Chang’an, juste au vieil homme pour apporter une lettre de paix à la maison pour retourner, mais pas de stylo et de papier, et ne peut pas se soucier de la lettre, donc je ne peux que faire confiance au vieil homme pour apporter un message pour rapporter la sécurité de celui-ci.

Les phrases de ce poème viennent de la vie, reflètent la vie, sont écrites à la main, sont amicales et savoureuses.

Traducteur de poésie:

Xu Yuan-chong(许渊冲)

À propos du poète:

Cen Can

Cen Shen, 715 – 770 après J.-C., était originaire de Jingzhou, dans la province de Hubei. Dans sa jeunesse, il a étudié au mont Songshan, puis s’est rendu à Pékin, Luoyang et Shuohe. Cen Shen était célèbre pour ses poèmes frontaliers, dans lesquels il décrivait les paysages frontaliers et la vie des généraux d’une manière majestueuse et pleine d’entrain. Avec Gao Shi, il était un représentant exceptionnel de l’école de poésie frontalière de la dynastie Sheng Tang. Il a servi dans le bureau de Feng Changqing et a acquis une profonde expérience de la vie à la frontière.

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