Adieu à un luthiste I

bie dong da er shou i
Le ciel s’assombrit de nuages jaunis;
Au vent neigeux du nord volent les oies sauvages.
N’ayez pas peur de ne rencontrer plus d’amis!
Il y a des connaisseurs même dans les villages.

Poème chinois:

「别董大二首 · 其一」
千里黄云白日曛,北风吹雁雪纷纷。
莫愁前路无知己,天下谁人不识君。

高适

Explication du poème:

Il s’agit d’un poème d’adieu audacieux, exprimant le sentiment d’adieu du poète à son ami qui voyage au loin, et montrant en même temps l’audace et l’ouverture d’esprit du poète. Dong Da était probablement un musicien célèbre de la dynastie Tang.

Les deux premières lignes : des nuages jaunes couvrent le ciel, s’étendant sur des milliers de kilomètres, le soleil est faible, le vent du nord sifflant vient de renvoyer les oies et d’apporter une rafale de neige épaisse.

La scène qui se déroule devant moi est écrite directement, en utilisant uniquement la technique de la description blanche. Pour écrire les sentiments de séparation avec les vrais sentiments de son cœur, il est donc très sincère ; pour l’ouverture de la poitrine, la narration du paysage devant lui, de sorte qu’il montre la tristesse. Au coucher du soleil, le vent du nord soufflait, les oies s’envolaient vers le sud, et la pluie et la neige voltigeaient. Ces deux phrases illustrent la scène du début de l’hiver dans le nord.

Les deux dernières lignes : Ne t’inquiète pas de la route qui t’attend sans un ami, lequel sous le ciel ne te connaît pas ?

Ces deux phrases sont destinées à réconforter l’ami, les mots sont forts, puissants, dans le réconfort plein de confiance et de force, pour inspirer les amis à secouer l’esprit pour lutter, se battre. Les mots sont pleins de confiance et de force au milieu de la consolation, inspirant mon ami à lutter et à s’efforcer. Parce qu’il est un confident, il parle franchement et hardiment ; et parce qu’il est tombé, il prend l’espoir comme consolation.

Le langage du poème est simple, le style est audacieux, plein de confiance et de force dans le sens du confort, pour inspirer les amis à secouer l’esprit de lutte, à se battre, est une incarnation vivante de la sonorité de la dynastie Tang.

Traducteur de poésie:

Xu Yuan-chong (许渊冲)

À propos du poète :

Gao Shi (高适), 706 – 765 après J.-C., était originaire du comté de Jing, dans la province du Hebei. Dans ses jeunes années, sa famille était pauvre et il perdit sa carrière, et il eut des contacts avec Li Bai et Du Fu. Gao Shi était célèbre pour ses poèmes « Border Plugging » et, avec Cen Sen, il était un représentant de l’école de poésie « Border Plugging » de la dynastie Tang.

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