Au bord du fleuve V

jue ju man xing jiu shou v
Je vois, le cœur brisé, le printemps s’en aller;
Canne en main, sur l’îlot je ne peux l’arrêter.
L’iule de saule, au gré du vent, danse la ronde;
Les fleurs de pêcher tombées s’en vont avec l’onde.

Poème chinois:

「绝句漫兴九首 · 其五」
肠断春江欲尽头,杖藜徐步立芳洲。
颠狂柳絮随风舞,轻薄桃花逐水流。

杜甫

Explication du poème:

Ce poème reproduit le mont Tai, haut et majestueux, avec une humeur ouverte, et montre également la vigueur et l’esprit extraordinaire du poète dans sa jeunesse.

Premier et deuxième vers : Que dire du mont Tai, la première des cinq montagnes ? Au pays de Qilu, il n’y a pas de fin à la couleur merveilleuse des montagnes verdoyantes.

Écrivez la joie, l’émerveillement et l’admiration que vous avez ressentis lorsque vous avez vu le mont Tai pour la première fois.

Troisième et quatrième phrases : La nature réunit tous les paysages magiques et magnifiques, le sud et le nord de la montagne sont divisés en yin et yang, et le matin et le soir sont très différents.

C’est comme si la nature aimait particulièrement le mont Tai, le rendant dynamique et beau, élevé et grandiose. Le mont Tai lui-même, en raison de sa hauteur, est capable de distinguer le yin et le yang et l’aube.

Cinquième et sixième phrases : les couches de nuages qui s’élèvent, de sorte que le cœur tremble ; les yeux extrêmement grands ouverts pour regarder loin du retour des oiseaux cachés dans les montagnes et les forêts.

En regardant de près le mont Tai, les nuages se chevauchent et tournent en rond ; les oiseaux fatigués retournent dans la forêt, et la brume du crépuscule est épaisse. Les yeux grands ouverts pour se concentrer sur l’observation des nuages, le retour des oiseaux, la poitrine ne peut s’empêcher de remuer l’immensité du gaz, de sentir soudain les yeux grands ouverts, le champ de vision est grand ouvert.

Septièmement, huitième ligne : je dois escalader le plus haut sommet, surplombant les montagnes en face du mont Tai semble petit.

Le poète ne se contente pas de voir la montagne, il veut grimper au sommet de la montagne pour avoir un aperçu de l’ambiance du paysage. Ce vers, pour le son final, souligne une fois de plus la hauteur et l’escarpement du mont Tai, écrit le regard majestueux sur toute la posture et l’élan majestueux, mais montre aussi le cœur et l’esprit du poète. Le contraste entre la petitesse des montagnes et la hauteur du mont Tai montre que le poète n’a pas peur des difficultés, qu’il ose grimper au sommet et contempler l’ambition et le tempérament de tout ce qui existe.

Bien que ce poème ait une grande portée, il ne fait que contempler la montagne du Xinghui, sans la moindre trace de comparaison délibérée. Si nous parlons des os élevés et du corps majestueux, il est encore plus difficile d’atteindre les œuvres ultérieures.

Traducteur de poésie:

Xu Yuan-chong(许渊冲)

À propos du poète:

Du Fu

Du Fu (杜甫), 712 – 770 après J.-C., originaire de Xiangfan, dans la province de Hubei, est un grand poète réaliste de l’histoire chinoise. Du Fu a eu une vie difficile, et sa vie de troubles et de déplacements lui a fait ressentir les difficultés des masses, de sorte que ses poèmes étaient toujours étroitement liés aux événements actuels, reflétant la vie sociale de l’époque d’une manière plus complète, avec des pensées profondes et un horizon élargi.

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