À mon amour

Ji ren
Après départ j’ai rêvé de la cour
Où la balustrade fait des détours.
Pour toi seule la lune printanière
Éclaire encore les fleurs tombées par terre.

Poème chinois:

「寄人」
别梦依依到谢家,小廊回合曲阑斜。
多情只有春庭月,犹为离人照落花。

张泌

Explication du poème:

Le poète était autrefois amoureux d’une femme, mais il s’est séparé plus tard, cependant, le poète ne l’a jamais oubliée, sous la barrière du féodalisme, a dû emprunter la forme du poème tour à tour et vaguement exprimée, en espérant qu’elle puisse comprendre leur propre.

Les deux premiers vers : tu me manques profondément après la séparation, et je rêve souvent de ta maison. Le décor de la cour est toujours le même, et le petit couloir est toujours là.

Le poème commence par la narration d’un rêve. Le poète a probablement déjà séjourné dans la maison de cette femme ou l’a rencontrée chez elle. C’est pourquoi, après avoir pénétré dans le rêve, le poète a l’impression d’avoir dérivé dans sa maison. L’environnement ici est si familier : le couloir de la cour de tous les côtés, c’est-à-dire les deux avaient parlé de la place du cœur ; les appendices en zigzag, comme d’habitude, semblent avoir laissé leur propre touche d’écriture, mais, devant le couloir est toujours le même, mais le seul ne voit pas la personne dans ses pensées. L’âme de son rêve tourne autour du couloir, s’appuyant sur tous les appendices, il erre déçu, se souvient, jusqu’à ne plus savoir comment sortir de ce rêve embarrassant.

Les deux dernières lignes : seule la lune de printemps dans le ciel est la plus sentimentale, mais aussi pour la personne décédée, pour illuminer les fleurs qui tombent dans la cour.

L’espoir en l’autre, l’implicite profond, les tours et les détours euphémiques, les vrais sentiments. Les gens ne peuvent plus être trouvés, l’auteur a demandé : alors, que reste-t-il ? À ce moment-là, un rond de lune brillant, juste mis la lumière froide saupoudré dans le jardin, le morceau de sol des fleurs tombées, reflétant la couleur morne. Les fleurs sont tombées, mais la lune, qui reflétait autrefois le parfum sur les branches, brille toujours aussi affectueusement, et semble ne pas avoir oublié l’histoire d’amour qu’un couple a nouée ici. Ces deux derniers vers sont ce que le poète veut lui dire.

Traducteur de poésie:

Xu Yuan-chong(许渊冲)

À propos du poète:

Zhang Bi (张泌) était un poète de la fin de la dynastie Tang, dont les dates de naissance et de mort sont inconnues, originaire de Yangzhou, dans la province du Jiangsu, et l’un des représentants de l’école de la Chambre des fleurs, dont le style poétique était gracieux et parfois magnifique.

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