Pour perle verte, suivante de ma tante

zeng qu bi
Ta beauté enflammait le cœur des seigneurs hauts,
Les larmes aux yeux, tu partais pour le château.
Le lieu où tu allais est profond comme mer.
Dès lors ton maître te serait un étranger.

Poème chinois:

「赠去婢」
公子王孙逐后尘,绿珠垂泪滴罗巾。
侯门一入深如海,从此萧郎是路人。

崔郊

Explication du poème:

Ce poème évoque la tristesse de la bien-aimée du poète qui a été volée, reflétant la tragédie de l’amour dans la société féodale causée par la disparité des rangs, avec une signification profonde.

Dans les deux premiers vers, les princes et les petits-enfants s’affrontent dans le dos, et les belles femmes sont mouillées de larmes.

Grâce à la technique de l’accent latéral, à travers la représentation de la poursuite des riches et des puissants pour mettre en évidence la beauté de la femme, le comportement des princes et des petits-enfants est la cause de la racine du malheur de la femme, cependant, le poète n’a pas compris ce qui a été dit, mais seulement par l’utilisation de l’allusion aux tours et détours de l’expression. L’allusion à la perle verte tombant de l’immeuble, d’une part, décrit la femme avec la belle apparence de la perle verte, d’autre part, la misère de la perle verte implique que la femme a été volée de son destin malheureux.

Les deux derniers vers : Une fois entré dans le marquis profond et isolé, la personne que tu aimes dans ton cœur deviendra une étrangère.

Ces deux lignes ne pointent pas du doigt la grande famille qui a causé leur séparation et leur isolement, mais semblent dire que la femme s’est considérée comme une étrangère dès qu’elle a franchi la porte du marquis. Mais l’ironie réelle de l’intention de l’auteur est déjà très claire, et la raison en est d’exprimer le chagrin et la douleur du poète, ainsi que d’harmoniser le style du poème et d’en souligner le caractère implicite. On dit que lorsque Yu Di a lu ce poème, il a demandé à Cui Jiao de lui amener sa servante, et l’histoire a été transmise au monde de la poésie.

Le poète présente ce poème à sa bien-aimée, décrivant à la fois le malheur de la femme et le chagrin de se voir voler son amour par les nobles de la famille des marquis, les princes et les fils du roi, qui ne se soucient que de leurs goûts et de leurs dégoûts personnels.

Traducteur de poésie:

Xu Yuan-chong(许渊冲)

À propos du poète:

Cui Jiao (崔郊), poète de la dynastie Tang, dont les dates de naissance et de mort sont inconnues, est célèbre pour son poème « Pour perle verte, suivante de ma tante » (赠去婢).

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